Renault avec ING !

ING, nouveau sponsor de Renault en F1, pourtant la banque hollandaise ne cesse de licencier. Il rachète des petites banques et pour économiser la seule impasse c'est le licenciement.
En Belgique, le gouvernement a accodé 26 millions d'euros de charges sociales à ING.
Obtenir 26 millions d'euros qui ne rentrerons pas dans les ressources de l'état, c'est a dire que ces 26 millions ont été trouvés ailleurs, dans nos poches a tous, il y a une anomalie qui commence à devenir insoutenable lorsqu'il s'agit de les utiliser a payer le salaire de Flavio, par exemple.
Et ING voudrais modifier son image par le biais de la F1? trop zarbe!
D'un autre coté, fumez Marlboro, vous ferrez du bien à la scuderia.

Et aujourd'hui, ING devient le partenaire officiel du GP d'Australie!!!

Elle en jette cette livrée, dommage qu'on la verra pas en course !

http://www.toilef1.com/IMG/Renault_01.jpg

HondaF1 Fan a écrit:

Elle en jette cette livrée, dommage qu'on la verra pas en course !

http://www.toilef1.com/IMG/Renault_01.jpg

ah! bon on ne la verra pas , j'avais crus voire que pour les 30 ans de renault en f1 cela serait la livrée pour ce gp.
effectivement pour c'est essais libre elle n'apparait pas

Préparer son retour
Renault rachète l’écurie britannique en 2000, ayant pour projet de relancer sa propre écurie de Formule Un. Et 17 ans après la dernière monoplace 100% Renault, la R202 se prépare à participer au championnat 2002 de Formule Un. Le constructeur tente un pari audacieux : après avoir été la première écurie à utiliser un moteur turbo, Renault lance un moteur à angle en V à 110°.



Des débuts encourageants
Le Mild Seven Renault F1 Team, dirigé par Flavio Briatore, déjà à la tête de Benetton par le passé, possède alors un line-up intéressant, composé de Jarno Trulli (en provenance de Jordan GP) et de Jenson Button (titulaire chez Benetton en 2000). La nouvelle écurie française terminera finalement quatrième pour son grand retour, avec un total de 23pts marqués (mais aucun podium.)



Premiers coups d’éclat
C’est en 2003 que Renault F1 marquera son retour, comptant énormément sur le jeune prodige Fernando Alonso, managé par Flavio Briatore. Il ne faudra pas attendre longtemps pour voir Renault s’illustrer puisque dès le Grand prix de Malaisie, deuxième manche du championnat du monde de Formule Un, les deux R23 d’Alonso et de Trulli occupent la première ligne à l’issue des qualifications. Il faudra attendre la Hongrie de la même année pour voir Fernando Alonso remporter son premier Grand Prix, offrant par la même occasion sa première victoire à Renault depuis déjà 20 ans. Après une belle moisson 2003, le constructeur français termine à la quatrième place, comme en 2002, mais avec cette fois 88pts au compteur et une victoire à la clé.



Une occasion manquée
L’équipe reste inchangée pour 2004, tout du moins en début de saison. Car après un excellent début de saison, durant lequel Renault bataille avec BAR Honda pour une place de dauphin, derrière la Scuderia Ferrari, les performances de la R24 sont en net déclin lors de la deuxième partie du championnat. Tout avait pourtant bien commencé, avec une superbe victoire de Jarno Trulli en principauté, à Monaco, qui mettait fin à une série de six victoires pour Michael Schumacher et Ferrari. Mais voila, suite à une histoire interne, Trulli prend la porte. Tout le monde se dit que Franck Montagny, pilote essayeur de Renault F1, va prendre sa place, mais non, Renault décide d’engager Jacques Villeneuve pour le remplacer. Il était trop tard, BAR-Honda s’était emparé de la 2ème place du championnat. Renault termine ainsi 3ème, avec 105pts et une victoire.



Le jour de gloire
Durant l’hiver 2004-2005, Renault impressionne lors des essais hivernaux et confirme la tendance dès le Grand prix d’ouverture, à Melbourne. Giancarlo Fisichella, arrivé en remplacement de Villeneuve, gagne la première course de la saison. Ensuite, ce sera le festival Alonso… Il remporte les trois Grand Prix suivants avant de batailler ferme avec Kimi Räikkönen et McLaren Mercedes durant le reste de la saison. Si au final la monoplace britannique semblait plus rapide que la française, elle était aussi assurement moins fiable, ce qui a sans doute coûté le titre à Räikkönen. Renault n’en démérite pas, au contraire. Avec huit victoires et 191pts, la marque au Losange remporte son premier titre constructeur avec une monoplace 100% Renault. De son côté, Fernando Alonso remporte son premier titre pilote, offrant un deuxième titre à Renault F1.



Rester la référence
On dit toujours que le plus dur n’est pas d’être en haut, mais de le rester. Renault avait bien appris sa leçon et bien travaillé pour ne pas tomber dans le piège. Alonso s’impose d’entrée à Barhein, avant que Renault ne réalise un doublé historique en Malaisie (Fisichella s’impose devant Alonso et Button sur BAR Honda). Si McLaren est en retrait lors de cette saison 2006, ce n’est plus le cas de Ferrari. Et l’écurie italienne, bien aidée par Michael Schumacher et Felipe Massa, a rendu la vie difficile au Mild Seven Renault F1 Team. Après un grand nombre de rebondissements, Alonso se voit offrir son deuxième sacre lorsque le moteur de la Ferrari de Schumacher lâche alors que l’allemand était en tête du Grand Prix du Japon. Une opportunité que l’ibère a su saisir au Brésil, où il s’offre une deuxième couronne tandis que Renault F1 double la mise de son côté également. Là encore, la marque française se sera imposée à huit reprises, mais engrangera 205pts au cours de la saison.



La grande désillusion
Si 2005 et 2006 ont été tout rose pour Renault, 2007 est plutôt synonyme de calvaire. Fernando Alonso quitte l’écurie championne du monde en titre pour rejoindre McLaren, Mild Seven arrête son sponsoring suite aux nouvelles règlementations interdisant la publicité du tabac en F1, et Bridgestone devient le manufacturier unique du plateau. Fisichella est alors propulsé au rang de numéro 1 de l’équipe, secondé par Heikki Kovalainen. La saison est catastrophique… Fisichella, qui n’a jamais été à l’aise chez Renault, ne marque que quelques rares points alors que Kovalainen enchaine les erreurs de jeunesse. Le champagne ne coulera qu’une fois en 2007, à Suzuka, grace à la troisième place de Kovalainen, bien plus performant en deuxième partie de saison. Suite à disqualification de McLaren, Renault termine cette campagne en 3ème position, avec seulement 51pts.



Un retour en fanfare tardif
L’écurie française veut se rattraper en 2008, et elle y met les moyens. Fisichella et Kovalainen sont remerciés, Alonso fait son grand retour et Nelsinho Piquet est lancé dans le grand bain. Mais très vite, Renault va connaitre une nouvelle désillusion. Pire encore, la R28 est encore moins performante que sa devancière et c’est un Fernando Alonso de génie qui ramène quelques maigres points. On se dit que s’en est fini de Renault en Formule Un, que l’équipe française va arrêter la Formule Un… mais les ingénieurs d’Enstone et de Viry vont réaliser un exploit. C’est une R28 radicalement différente qui entre en piste lors du Grand Prix de France. Alonso marque régulièrement des points, Piquet monte pour la première fois sur podium en Allemagne. Très en forme lors des essais libres du Grand Prix de Singapour, Alonso voit la pole lui échapper alors qu’elle lui tendait les bras, sa R28 n’avance plus. Mais par un heureux hasard (un n ième accident de Piquet…) , il se retrouve en tête de la course le lendemain et remporte le premier Grand Prix nocture de l’histoire de la F1. Les mauvaises langues parlent alors d’un coup de chance mais l’ibère réédite son exploit deux semaines plus tard Japon. Renault met fin à presque deux ans de disète ! 80pts, une 4ème place au général et 2 victoires, voila le bilan de la marque au Losange. Champions d’automne 2008, Alonso et Renault n’espèrent qu’une chose, continuer sur leur lancée, le 29 mars prochain à Melbourne.





Continuer sur sa lancée
Cette année, l’équipe refait confiance à son line-up 2008 et espère tirer profit des nouvelles règlementations. Comme en 2007 et 2008, Viry-Châtillon fournit également ses moteurs RS27 à Red Bull Racing. Sans oublier que ce moteur a été quelque peu modifié pour 2009, suite à l’accord de la FIA et des autres écuries. Wait and see mais surtout… allez ING Renault F1 Team !



Palmarès de Renault en Formule Un :
- 35 victoires
- 50 pole positions
- 27 mtc
- 94 podiums
- 1056 pts
- 2 titres constructeur (2005 et 2006)
- 2 titres pilote (2005 et 2006)
- 17 saisons en F1
- 245 GP

"Comment expliquez-vous qu'après deux titres de champion du monde avec Alonso en 2005 et 2006, Renault soit depuis trois années au fond des classements ??"

Pour commencer, d'où vient Renault F1 Team...motoriste novateur dans l'âme et respecté depuis la réussite de l'ère turbo en F1, une association avec Williams sans failles et des titres constructeurs et pilotes. Déjà sous l'influence de Briatore qui avait bien compris les succès à venir, une entente née avec Benetton et Renault et la machine est lancé. Businessman averti Briatore a depuis longtemps maitrisé les rouages de la F1 et se tourne vers l'un des plus gros constructeurs mondial au moment ou la Formule 1 devient un combat entre grandes firmes automobiles, juste au bon moment pour redorer la marque au losange.

Tout commence en 2000, Renault rachète Benetton de Flavio, Le constructeur tente un pari audacieux : après avoir été la première écurie à utiliser un moteur turbo, Renault lance un moteur à angle en V à 110°.

Le Mild Seven Renault F1 Team voit enfin le jour dans l'intention de remporter des titres d'ici 3 ans. D'entrée un line-up intéressant, composé de Jarno Trulli et de Jenson Button. La nouvelle écurie française terminera finalement quatrième pour son grand retour, avec un total de 23pts marqués sans aucun podium.

Ca bosse dans le clan Renault, Michelin, Einstone et ça paye suite à l'arrivée du prodige espagnol, Alonso, que Flavio manage avant son apprentissage remarqué chez Minardi. Le "Messi" de la F1.
En 2003 Renault F1 team marquera son retour distingué avec Trulli et Alonso dès la Malaisie avec un doublé sur la grille, puis Fernando Alonso remporter son premier Grand Prix, offrant par la même occasion sa première victoire à Renault depuis déjà 20 ans. C'est parti...sauf qu'en 2004 après un bon début de saison Briatore finit par virer Trulli. Assez incompréhensible, malgré tout Briatore et Renault feront confiance à villeneuve en lieu et place d'un pilote français, Montagny, plus méritant pour son travail dans l'ombre, à cette époque Renault est obligé de faire valoir et honorer ses engagments en F1 qui n'a rien de favoriser des pilotes français dans une écurie pseudo française.

Inter saison 2004-2005 les Renault sont dangereuses, si rapides, si fiables, le début de l'épopée, des monoplaces bien nées, une équipe devenue homogène, les plus grosses têtes de la F1 embarquées sur le navire, 2005-2006, ne pas oublier la part de Michelin pendant cette consécration.
Fisico remplace Villeneuve, la plaisanterie a assez durée! Fisico remporte la première course de la saison, et après, après c'est le festival Alonso. Contre Raikkonen et McLaren Mercedes et des GP inoubliables Renault et Alonso remportent les titres.

En 2006 Renault et Alonso (et j'oublie jamais Michelin) resteront la référence, face cette fois-ci à la Scuderia Ferrari et Schumacher. Mais c'est l'année quiu amorçe comme un futur déclin, les Mass Dumpers, la fin de la collabo avec Michelin, Alonso qui se barre chez McLaren, Dupasquier de Micherlin en retraite, Faure se casse aussi, Ghosn arrive, wahouuu, trop c'est trop.

Ensuite, ce n'est même plus la peine d'énumérer les saison jusqu'à aujourd'hui, 2007 est un calvaire avec Fisico et Kovalainen et surtout une R27 peu docile en piste, le passage des Michelin à Bridgestone n'a jamais autant pénalisé une écurie de F1. Imméditemment Renault ne s'en remettra jamais, avec Michelin Renault maitrisait 104 paramètres sur une échelle bien spécifique à eux, avec Bridgestone au bout de 6 Grand Prix
, pour comparaison, ils n'en maitrisaient que 4, c'est fou, incroyable, comment ne pas chuter!

2008-2009, l'arrivée de Ghosn, enfin en place depuis longtemps mais qui laisse les pleins pouvoirs plus que Schweitzer à Flavio malgré le retour d'Alonso, les magouilles internes, Piquet Jr, tout a changé, on court pour survivre, ce qu'on demande en France depuis des années arrive, Grosjean presque français ne sauvera pas les meubles.
Sans parler de l'affaire de Singapour...non j'en parlerais pas ici! Le déclin de Renault ne dépend pas de cette course.