Kimi Räikkönen, au dessus quand même...

Kimi Räikkönen, à retrouver le gout de la victoire, bien des Ferrariste le voyait déjà en retrait de Felipe Massa, qui de son côter apporte beaucoup à Ferrari lui aussi par son talent.
Kimi peut maintenant reprendre confiance, bien que le calme de IceMan, lui qui ne savoue jamais vaincus.



Les bons et les mauvais points…
Pour un circuit soi-disant en fin de vie et sans avenir selon les dires du grand argentier de la F1 Bernie Ecclestone, Magny-Cours a parfaitement tiré son épingle du jeu dans ce Championnat alors que la mi-saison approche. Au terme d’un Grand Prix très intense et de loin l’un des moins ennuyeux de l’année sur un tracé dont les pilotes ont unanimement reconnu les qualités (ce qui n’a pas toujours été le cas par le passé…), le Championnat semble même relancé. La faute aussi à une Scuderia FERRARI de retour au premier plan après trois courses difficiles à Monaco, Montréal et Indianapolis. Arrivée très confiante dans la Nièvre après avoir apporté quelques modifications sur ses monoplaces, l’écurie italienne a confirmé tout au long du week-end ses nouvelles (bonnes) dispositions au moment où un cavalier seul de MCLAREN-MERCEDES et un duel fratricide Hamilton - Alonso se profilaient.

Auteur de la pole samedi, le Brésilien Felipe MASSA a cependant dû s’incliner dimanche devant la furia de son coéquipier Kimi RAIKKONEN, comme sorti d’une hibernation de plusieurs semaines dans laquelle il était entré après son succès de début de saison en Australie. Irrésistible, notamment au cours d’un deuxième relais magnifique où « Ice Man » a multiplié les prouesses lui permettant de doubler son acolyte « dans les stands », le Finlandais signe ainsi son deuxième succès de la saison - le 11eme de sa carrière – et offre au Cheval Cabré son premier doublé de l’année. L’ancien vice-champion du monde (2003 et 2005) rejoint aussi Hamilton, Alonso et Massa au nombre de victoires cette saison, les quatre ténors de la discipline comptant chacun deux succès après les huit premiers Grands Prix. Après un tel état des lieux, on comprend mieux pourquoi le Championnat est désormais relancé. Car, même si Massa et Raikkonen comptent respectivement 17 et 22 points de retard sur Hamilton, l’écart se ressert et Ferrari a sans conteste comblé son retard sur les Flèches d’argent entrevu à Indy il y a quinze jours.

Source : Sport 365

Il a raison d'y croire, il y a toujours 4 prétendants au titre.

Raikkonen croit au titre après sa victoire au Grand Prix de France.


- Kimi Raikkonen a retrouvé de l’ambition et croit encore au titre. «Il y a encore beaucoup de courses à venir et nous avons seulement besoin d’une mauvaise course des autres gars pour que cela tourne complètement. Il nous faut donc continuer à pousser et essayer d’avoir de bons résultats comme lors de la dernière course», a déclaré le Finlandais à Autosport.

Spôrt 24.

Je pense que Massa sera plus souvent devant Raikkonen, comme c'est le cas depuis le début de saison.
Certe Raikkonen a réussi un bon Gp de France avec sa stratégie, toujours plus d'essence que Massa.
Massa englué dans le traffic, le finlandais en profite pour aligner deux ou trois tours très rapide.
Une belle victoire, mais que ne m'a pas enthousiasmé, à part une statistique, c'est la premier pilote finlandais a remporter le GP de France.

j' ai toujours pensé que cette strategie d'etres plus chargé etait la meilleurs mais malheureusement avec ses depart loupé kimi ne pouvait en profité, ferrari a progresser en plus de l'aero il y a une nette amélioration sur le depart et j'espere que pour ce weekend il y aurat confirmation.

C'est vrai fff, les Ferrari ont travaillé pour prendre de bons départs, avec des développements qui ont de suite donnés satisfaction au départ de GP de France.
McLaren n'a plus ce monopole des départs canons.

immense champion...

Raikkonen domine la deuxième session libre
06 Juillet 2007 en 1'20"639


Kimi Raikkonen a aisément réalisé le meilleur temps lors de la deuxième séance d'essais libres sur la piste de Silverstone. Le Finlandais a devancé de cinq dixième son équipier, Felipe Massa. La troisième place est revenue au surprenant Ralf Schumacher. Lewis Hamilton s'est classé quatrième.

Hamilton et Ralf Schumacher ont réalisé au millième près le même temps, mais l'allemand se place avant le Britannique car il a effectué ce chrono en premier. Les Toyota ont joué les trouble-fête, Jarno Trulli se classant en cinquième position. Fernando Alonso a réalisé le sixième temps, devant les deux pilotes Williams, Nico Rosberg et Alexander Wurz. Après un première séance décevante, Red Bull a en partie relevé la tête grace à Mark Webber, neuvième. Anthony Davidson s'est classé "deuxième britannique" et a obtenu le dixième temps.

Les deux Renault progressent lentement mais surement. Heikki Kovalainen, onzième malgré une sortie de piste, devance Giancarlo Fisichella. BMW n'a pas confirmé ses premiers essais de ce matin: les deux monoplaces allemandes n'ont pas fait mieux que treizième et seizième. Remplaçant de Jenson Button, Christian Klien a terminé à trois dixième de son équipier, Rubens Barrichello. Les deux Toro Rosso et les deux Spyker n'ont toujours pas quitté le fond de la grille. A vingt minutes du drapeau à damiers, Adrian Sutil est arrivé en survitesse à Copse et est parti en tête-à-queue.

Source : GP update

J'ai comme l'impression que Raikkonen commence sa saison...peu importe le résultat de la course en Angleterre, il est impressionant en séance libre depuis Magny-Cours. Il profite des améliorations de la Ferrari, quelle équipe!

La course de demain, c'est peut-être le tournant de la saison, un relancement possible, pour un meilleur spéctacle pour la suite...

Si McLarne fait un double podium (2e-3e,1e-2e ou 1e-3e) Ferrari aura bien du mal à revenir par la suite, plus que 8 courses et la Scuderia et McLaren seront quasiment identiques en terme de perf sur les runs longs comme courts, il sera difficile d'en départager un, une année de plus, Ferrari a perdu beaucoup de points en début de saison, ce ne sera que la 3e année successive ...

Spinoza a écrit:

Si McLarne fait un double podium (2e-3e,1e-2e ou 1e-3e) Ferrari aura bien du mal à revenir par la suite, plus que 8 courses et la Scuderia et McLaren seront quasiment identiques en terme de perf sur les runs longs comme courts, il sera difficile d'en départager un, une année de plus, Ferrari a perdu beaucoup de points en début de saison, ce ne sera que la 3e année successive ...

+1...sauf que cette année, à ce niveau de la saison, la différence entre Mac Laren et Ferrari est plus mince..

oui d'environ 10 points ...... toujorus st-il que si les choses en restent ainsi pour McLaren, Raikkonen reviendrait fort sur Massa mais ce dernier perdrait pas mal de points sur Hamilton même s'il ne serait relégué qu'a 4 longueurs d'Alonso

De toute façon, quand Kimi Räikkönen à signé chez Ferrari, qui je le rappelle venait de perdre le titre, depuis deux années consécutive, avec qui vous savez , donc, personne, n'a jamais dit que Kimi serait le champion du monde 2007, à part quelques fans, et médias, le titre était plus sur les épaules de Felipe Massa, Kimi à encore un bel avenir chez Ferrari, je ne vois pas pourquoi l'on peut dire qu'il est fini chez Ferrari, alors, que ( ) n'a pas réussis non plus façe à Fernando Alonso, chez Renault. (et sans lewis Hamilton)...

Tu as raison, RBK, tout le monde à dit qu'il ne serait jamais CDM

Dd a écrit:

Tu as raison, RBK, tout le monde à dit qu'il ne serait jamais CDM

Mais Kimi est capable de tout quand même... Un bon départ, et, et...

Räikkönen entame la saison 2007 avec certains inconvénients – ceux de devoir se fondre dans le moule Ferrari et de comprendre sa philosophie, contrairement à Felipe Massa – et boulets – le Finlandais a reçu une volée de bois vert sur sa prétendue incapacité à embrasser la technique et à fédérer les énergies. Humainement, Iceman a pour lui d’avoir une armure en acier trempé, sur lesquels les boulets rouges rebondissent. Sportivement, il a pour lui une vitesse de pointe hors norme et l’habitude de la gestion d’un championnat (Kimi est vice-champion 2003 et 2005). En cas de pépin, Räikkönen garde la tête sur les épaules et ne laisse pas sa motivation s’effriter (2004, 2006). Il ne se laissera pas déstabiliser par une éventuelle domination de Massa en début de championnat. En piste, Räikkönen est complet à tous les étages : qualifications, course, capacité à dépasser ses adversaires et à forcer l’allure au moment propice (les pit stops). Le talent naturel personnifié, au sujet duquel chacun s’accorde à dire qu’un titre mondial ne serait qu’une juste récompense. S’il devait y parvenir dès sa première année en rouge, il entrerait dans l’histoire de manière fracassante. Il a réussi.

Tiens moi je vais jetter mon petit pavé dans la mare en parlant de Raikko et seulement lui................... (avec le respect que je lui doit bien sur)

C'est l' histoire d'un mec qui arrive en F1 inconnu jusqu' alors mais qui parait il est très très rapide.Bon je veux bien mais moi je connais pas, je demande à voir.
Donc quand il est arrivé en F1 chez Sauber il allait tout casser, ben il a cassé surtout du carbone et des soupapes avec quelques perfs quand même mais bon je ne suis pas convaincu.
Transfert chez Mac-Laren, transfert de l'année dit on, effectivement surtout au niveau des $$$$$$$$.
Il échoue durant tout son mandat chez les gris avec des victoires certe et de belles perfs et de bon coup de volant mais moi je le remarque surtout pour la casse qu'il va engendrer, un beau cimetière de monplace à lui tout seul.
Tranférer chez Ferrari (aïe, aïe pour moi) il arrive enfin à être titré mais sans me convaincre et puis aussi surtout la malchance de Massa en 2007.
Alors maintenant j'en viens au pilotage de Iceman et il est rapide certe, même très rapide mais il n'a que ça un pied droit beaucoup plus lourd que le gauche.
On peut dire que c'est un mec qui en a dans le pantalon, mais il ferait pas mal aussi d'en avoir dans la boite craniènne pour prenve le nombre de courses perdu par abandon alors qu'il jouait la gagne ou de bonnes places pour le championnat.
Et oui Raikko est un bon pilote mais seulement bon, il ne suffit de mettre le pied dedans pour faire une grande carrière il faut aussi être un bon metteur au point il savoir guider, aider, et écouter les ingénieurs lors des débrifings et éviter de refaire les mêmes erreurs plusieurs fois.
Hors il me semble qu'avec lui c'est un éternel recommencement on lui dit certaines choses ça rentre à gauche et ressort aussitôt à droite, il conduit bien une partie de la course puis il repart en vrille, pas d'exemple en particulier mais si vous faites appel à votre mémoire vous n'aurez pas de mal à en retrouver.
Pour finir cette été il s'éssaye au WRC alors qu'il était à une honnorable 16ème place Monsieur en fait encore trop et vlan la Punto en vrac au fossé, c' est pas pour me vanter mais je l'avais dit a certains potes de rallye.
Voilà en bref pour moi Raikko est un bourrin qui aime et sait aller très vite, mais il ne voit pas plus loin que le bout de son nez en témoigne encore la somme de $$$$$$ qu'il demande pour courir en F1 alors que cette année il n'a rien prouvé du tout en 2009.
Si jamais il signe chez Citroën, Quesnel a intéret de prévoir des C4 de rechange car il va y avoir du petit bois toute la saison de WRC.

Pilote à l’ancienne Kimi Räikkönen ? Peut-être. Sans doute même. Et si c’était lui qui avait raison dans son approche de la course et des médias ?
Car après tout, le fait de privilégier le plaisir de piloter aux paradis artificiels qui règnent sur une F1 en pleine crise d’indigestion de ses excès et de ses dérapages incontrôlés ne saurait être considéré comme un défaut. Notre époque trouve refuge dans la mode Vintage. Si elle ne s’écrase pas contre les murs avant, la F1 du XXIème siècle devra se retourner vers des hommes comme Kimi pour la sauver du naufrage total.

Tous ceux qui ont travaillé avec Kimi vantent sa loyauté exemplaire.

« Même dans les pires moments, il n’a jamais critiqué l’écurie pour son manque de fiabilité », constate Norbert Haug.

« J’apprécie Kimi car c’est un pilote talentueux, rapide, courageux et qui ne se plaint jamais », ajoute Jean Todt à son sujet.

« Kimi est un mec réglo. Je ne l’ai jamais vu jouer le moindre tour politique, témoigne Felipe Massa. Il est clair. Clair dans le boulot, clair dans ses rapports avec les autres… »

Un peu froid Kimi ? Sans doute. Pourtant, un cœur d’or bat sous le self-contrôle à toute épreuve du pilote Ferrari.


Pour 2001, il gagne un joli cadeau, un passeport pour un essai en Formule 1 chez Sauber. Le test se déroulera au Mugello. Kimi convaincra Peter Sauber, le patron du team. Après 17 courses seulement en monoplace, il deviendra pilote titulaire en F1 au côté de Nick Heidfeld.

La FIA se fera un peu tirer l’oreille pour lui accorder sa Super-licence. Il l’obtiendra finalement pour une sorte de « période d’essai » de six courses. Et comme dès son premier Grand Prix, il se classe sixième et marque son premier point, l’examen de passage se résumera à une simple formalité. Kimi a désormais sa place dans le peloton et il attire l’attention d’un patron de top team, Ron Dennis. En 2002, la carrière du jeune prodige finlandais poursuit donc son ascension fulgurante. Kimi intègre l’écurie McLaren. Il va passer tout près de sa première victoire à Magny-Cours et se classe finalement second. Le chat noir qui ronronne trop souvent dans son habitacle le griffera souvent. Qu’importe, la victoire sourira bientôt. L’entrée de Kimi dans le club des vainqueurs de Grands-Prix se fera au GP de Malaisie 2003.


D’autres suivront, même si le manque de fiabilité de la McLaren-Mercedes le privera d’au moins un titre mondial. Son premier titre, c’est chez Ferrari en 2007 qu’il l’obtiendra, au terme d’une saison de concurrence exacerbée, tant au sein de son écurie que face à des McLaren Mercedes qui bénéficient par l’opération de quelques malsains esprits – et longtemps à l’insu de Ron Dennis et staff du team - du savoir-faire piraté à Ferrari.

Etre Kimiste ce n'est pas simplement supporter le meilleur pilote du monde, être Kimiste c'est un état d'esprit : c'est maîtriser ses émotions, ne pas laisser transparaître ses doutes, ne laisser parler que le talent, c'est aller toujours à fond toujours tout tenter avec la même rage et envie de gagner, c'est ne jamais se décourager, ne pas se soucier des conséquences, c'est une force et une motivation, c'est aussi une façon d'être : calme et posé tout en sachant s'éclater quand il le faut, c'est se moquer du qu'en dira t'on, être Kimiste c'est un tempérament plus qu'autre chose.

Sa bio:

Kimi Matias Räikkönen est né le 17 Octobre 1979 en Finlande, de parents nommés Matti et Paula Räikkönen. Depuis son plus jeune âge, il a aimé différents jeux sportifs.

Comme hobbies, il aime bien par exemple le snowboard, le hockey sur glace, le golf. Il participe également à d'autres types de sports mécaniques. En Mars 2007, alors que ses rivaux se préparent pour le premier GP de la saison en Australie, Kimi participe à une course de moto-neige en Finlande, sous le pseudonyme de James Hunt. Plus tard dans l'année, il participe également à une course de bateau dans la ville de Hanko en Finlande, en portant fièrement un costume de gorille.

Dès 1987, sa famille lui offre un karting afin de lui permettre d'assouvir une passion naissante. En 1991, Kimi entame les différentes étapes d'un champion de son âge. Après avoir fait ses armes en Juniors et Minimes, il passe à la catégorie A en 1995 où il s'imposera en 1997 au niveau national en Finlande. Il s'expatrie ensuite aux Pays Bas à l'invitation de Peter De Bruin. En 98, il double la mise dans le championnat de Finlande de Formule A et remporte celui d'Intercontinental A. En 1999, après avoir terminé 2ème du championnat Finlandais d'Intercontinental A, et 10ème du championnat du Monde, Kimi prenait la direction de l'Angleterre pour disputer les séries hivernales de Formule Renault pour le compte du Manor Motorsport, se voyant ainsi offrir un contrat pour la saison 2000 dans le championnat national Anglais. Dominateur depuis la première épreuve qu'il a terminé sur le podium (3ème), Kimi s'est ensuite facilement imposé dans la catégorie. Toutes ces glorieuses victoires vont permettre à Kimi d'être remarqué par un grand directeur d'écurie Suisse en F1 : Peter Sauber.

Pour évaluer son niveau, il le soumet à des essais privés sur le circuit mythique de Mugello. Il n'en fallut pas plus pour impressionner Peter, qui l'engagea comme pilote titulaire aux côtés de Nick Heidfeld pour la saison 2001. En 2001, chez Sauber, il finira 10ème du Championnat avec 9 points. Un bon résultat pour un novice et impressionne tant, et si bien, qu'il est repéré par l'écurie McLaren Mercedes et embauché par la suite. L’écurie mise sur lui pour prendre la succession de son compatriote, Mika Häkkinen. Cette première saison à bord d'une flèche d'argent ne sera pas très glorieuse pour Kimi à cause notamment de 11 abandons, dont une série noire de 6 consécutifs. Il finira toutefois 6ème au championnat. En France, il ne passa pas loin de son premier succès en F1. Le point très positif est que Kimi a souvent devancé en qualifications son coéquipier vétéran du team : l'écossais David Coulthard. L'année 2003 confirmera le potentiel de Kimi. Vainqueur de son premier GP en Malaisie, il est resté en lutte pour le titre jusqu'au dernier round face à Schumacher.

La saison 2004 s'annonçait prometteuse mais ne sera pas aussi fructueuse qu'espérée, la faute à une fiabilité douteuse en début de saison. En 2005, on prédisait l'association avec Montoya explosive mais le Finlandais a rapidement pris le dessus. Une fois encore accablé par le manque de fiabilité de son matériel, Räikkönen a eu beau effectuer des remontées endiablées, souvent couronnées de succès, il a finalement échoué face à la constance de son principal adversaire. L’année 2006 devait être celle de la revanche, mais la nouvelle McLaren, fiable, mais moins performante, plonge Kimi en milieu de classement. Le 10 septembre, sa carrière prend un nouveau départ. A l'issue du Grand Prix d'Italie, Michael Schumacher annonce sa retraite en fin de saison, et Ferrari intronise dans la foulée l'embauche d’Iceman pour remplacer Schumi.

En 2007, Kimi débute chez Ferrari. Il frappe fort d'entrée de jeu lors de la première course à Melbourne puisqu'il gagne avec la pole position et le meilleur tour en course. De suite, il fut donné grand favori. Cependant, trahi à de nombreuses reprises par sa F2007, Kimi se voit perdre la tête du championnat et, est vite distancé par Lewis Hamilton et Fernando Alonso chez McLaren. Alors qu'il comptait un écart de 26 points à la mi saison, Iceman domine enfin sa monoplace. Les choses s'arrangent à compter de Magny Cours, il revient petit à petit, grapille point par point, et alors qu'il était le moins bien placé pour gagner le titre mondial, il effectue une course parfaite lors du dernier GP de la saison et gagne le championnat du monde avec 1 point d'avance sur Alonso et Hamilton mais avec 2 victoires en plus au compteur comparé à ses concurrents.

En 2008, Kimi Räikkönen est désormais le nouveau patron du paddock, mais suite à de nombreuses difficultés d'adaptation à la F2008, mais également à beaucoup de problèmes mécaniques et de configurations sur la F2008 dès la mi-saison, il ne fut plus en lice pour se succédé à lui même et termine le championnat à la 3ème position. Kimi remporte 2 GP ( Malaisie et Espagne ) et égalise également avec Schumacher aux nombres de meilleurs tours en course dans une saison ( 10 ). Pour 2009, ses nombreux fans espèrent une F2009 adaptée à son style de pilotage du début à la fin de la saison, pour ainsi pouvoir remporter son second sacre en F1, et faire taire les stupides rumeurs de démotivation de notre Finlandais.

Kimi sur un podium, on a l'impression qu'il ne se sent jamais satisfait.
35% de moyenne d'abandon. Il n'est pas le seule responsables (quoique!) mais ces chiffres expliquent en partie un potentiel bien gaché.
Début 2009, Kimi arrête l'alcool.
Raikkonen est lassé. L'argent, les filles, la reconnaissance publique et l'amour qui lui est donné quotidiennement, tout cela est d'un tel ennui, pour lui. Il n'a jamais vraiment voulu s'impliquer. Lui, il veut juste piloter pour rigoler. Il ne se passionne pas, toutes ces choses d'ingénieur, ces calculs sans âme. Conduire, juste conduire. Celle qui justifie le fait qu'un pilote eut été bien infoutu d'être régulier sur une saison, pas assez bosseur pour comprendre le fonctionnement de sa F1, trop bourrin pour ne pas se mettre au tas à chaque fois qu'il est nécessaire d'en mettre un coup.