mon carton rouge.

Thème d'anti sportvité en trois petites parties:

1.

En Autriche, meme en voisin, le public a choisi de siffler Michael Schumacher et Ferrari, pour conspuer une parodie de grand prix, de montrer leurs désaccords (avec les téléspectateurs) avec ce qu'on peut appeller une atteinte au sport et aux valeurs de la course automobile.
Juste "récompense" après la séance lamentable qu'ils venaient de vivre...une deuxième fois en deux ans...sauf que là, ce n'était pas une deuxième place qu'offrait Barrichello à Schuamcher, mais la victoire.

...

Junior a écrit:

Thème d'anti sportvité en trois petites parties:

1.

En Autriche, meme en voisin, le public a choisi de siffler Michael Schumacher et Ferrari, pour conspuer une parodie de grand prix, de montrer leurs désaccords (avec les téléspectateurs) avec ce qu'on peut appeller une atteinte au sport et aux valeurs de la course automobile.
Juste "récompense" après la séance lamentable qu'ils venaient de vivre...une deuxième fois en deux ans...sauf que là, ce n'était pas une deuxième place qu'offrait Barrichello à Schuamcher, mais la victoire.

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Très bon titre de Topic Lionel,

Ce jour la, je ne peut même pas écrire les mots que j'ai prononcer contre Todt et Schumach rr !!! même si le filtrage pour certaint mots est désactivé, il n'y aurait que des *** ** ***** !
Même les commentateurs, disait, non, il ne peut pas accepter, il vat le laisser à sa place, et bien non, même pas la force de caractère de dire, c'est pas normal...
Jamais dans l'histoire de la F1, un pilote n'aurat été autent siflé, la, c'est vrais, je retrouvais un certain bonheur, et la suite, quel plaisir, la presse Française, assez légére, mais le plus surprenant, c'est la presse Italienne et Allemande, un grand prix de mascarade, si, il y à une victoire qui ne lui revient pas, c'est celle la...

Les images de cette journée folle, après avoir mené la course en mains de maître, juste sur la ligne :
A voir et revoir ---> WINNER !!! 4 milièmes de différence à l'arrivée...

La plus grande joie, de ce triste jour de la F1, c'est de voir les pouces en bas de tourt un public, les hués contre cette pratique.
Moi, j'appelle cela de la TRICHERIE Antisportive !!! des cas comme celui-ci, il devrait y avoir des interdictions de courses pour plusieurs grand prix...



C'est Rubens Barrichello et sa carrière mit au service d'un Team et d'un chef de file !!!
Quand je pense que Ferrari à obtenus des titres, (et son coéquipiers aussi) des titres, et trop peu reconnus, jamais on accepte cette réaliter, pourtant les derniers titres de Ferrari, date de ce duo de pilote...

Deux autres journées folle, je montre les images, et laisse le soins des futures commentaires... Mais quand même...

A voir en grande taille :



entre autres...

Rubens, a accepté (pas trés malin) je connais bien des pilotes quise serait une gloire de ne pas accepter....

Aune heure habituellement consacrée au déjeuner dominical, Michael Schumacher et Jacques Villeneuve, déja casqués, se croisent sur le chemin des toilettes. Les deux hommes, perdus dans leurs pensées, ne se voient pas ou font tout comme. Alors que le départ du Grand Prix du Canada approche, l'Allemand se dit qu'une bonne averse pourrait arranger ses affaires. Le champion du monde manque encore de repères avec sa Williams "revisitée (lire ci-dessous), et préfère disputer une course qui ne ressemble pas à une loterie. Il s'est fixé pour objectif raisonnable de monter sur la dernière marche disponible sur le podium si jamais les deux pilotes McLaren-Mercedes font encore la course en tête. Mais comme tout le monde, Villeneuve et Schumacher espèrent surtout que les jumeaux de chez McLaren vont enfin s'expliquer et offrir ce duel sans retenue que l'on attend depuis le début de la saison. En fait de scénario à la Usual Suspects, le GP du Canada avait prévu quelque chose de mieux, avec, en l'espace de deux heures, plus de rebondissements que parfois lors d'une saison complète. A peine le départ donné, les premiers candidats malheureux au grand frisson sont Ralf Schumacher, qui cale sur la grille, et Alexander Wurz, qui oublie de freiner au premier virage. C'est donc la Sauber d'Alesi qui lui sert de ralentisseur et de tremplin. Trois tonneaux plus tard, le peloton est décimé et la course est arrêtée. Le temps de dégager la piste, les mécaniciens de Wurz, Trulli, Panis, Alesi et Herbert s'offrent quelques réparations express. Et au deuxième départ, les pilotes mettent autant d'enthousiasme à se propulser vers l'avant. Cette fois, les deux pilotes McLaren s'arrachent avec un bel ensemble, sans se faire suprendre par la Ferrari de Schumacher. Mais, Hakkinen disparaît du champ de vision de l'Allemand. Trahi par sa mécanique, le Finlandais est au ralenti et provoque une belle confusion dans le peloton. Pour la deuxième fois de l'après-midi, Trulli et Alesi s'aperçoivent que les monoplaces ne sont pas étudiées pour s'escalader. Wurz contourne l'incident par l'herbe. Ailleurs, quelques roues se touchent ici et là. Irvine et Wurz, avant de se retrouver en piste se donnent rendez-vous dans les stands. Pression rouge. En tête de la course, Schumacher met une pression inhumaine sur Coulthard qui tente de résister, avant d'apercevoir la voiture de sécurité à l'horizon. Le temps de dégager les épaves des Sauber et Prost de Trulli et Alesi et la course repart. Toujours à un rythme terrible pour Coulthard qui est tenté de ne plus regarder dans ses rétroviseurs. La présence du rouge Ferrari est trop évidente. Avec l'agressivité dont il a le secret, Schumacher cherche la faille. Dans son esprit, son adversaire écossais est en sursis. Une nouvelle intervention du safety car va permettre un regroupement du peloton. Coulthard comprend qu'il est en danger. Quand la voiture de la direction de course s'efface à nouveau, il n'a pas le temps d'échaffauder une nouvelle stratégie de résistance. Alors qu'il est en pleine bagarre avec Schumacher, lui aussi sent sa mécanique défaillir. Schumacher débarrassé des McLaren-Mercedes n'en demandait pas tant. Frentzen sorti. Il lui reste à mettre Giancarlo Fisichella, son unique adversaire sérieux, à bonne distance. Les circonstances de course vont encore l'aider. Une nouvelle apparition de la voiture de sécurité pour nettoyer la piste souillée par des débris de pelouses incite Schumacher à anticiper son arrêt au stand. Lorsqu'il repart, il provoque la sortie de piste de Frentzen qui se retrouvait deuxième derrière Fisichella en attendant que l'Italien ravitaille. En piste c'est le début d'une hécatombe, dont est également victime Jacques Villeneuve, trop fougueux et qui s'empêtre dans la prairie lors d'un freinage trop retardé. Malgré une pénalité de 10 secondes pour avoir expédié la Williams de Frentzen au décor (Williams a ensuite déposé une réclamation contre Ferrari), Schumacher gère au mieux ses derniers arrêts au stand, repart à chaque fois devant Fisichella qu'il lâche pour décrocher le 29e succès de sa carrière. Un carton plein qui lui permet de se rapprocher à 12 points de Mika Hakkinen au championnat.

Une réponse aujourd'hui, je ne suis plus la...